[L'enlèvement] Tu ne seras pas enlevé si... par Viviane | ©Valerie Sha Live Blog


Source: Envoyé par Viviane 

Relayé [?] par ©Valérie Sha Live Blog


Songe sur l'enlèvement reçu le 29 octobre 2007 au 7eme jour d'un temps de complète mise à part dans la consécration de 40 jours pour l’Épouse du Messie et pour Israël voulu par D.ieu et conduit par Lui Seul.
Que son seul Nom soit béni ba MashiaH' Yeshoua.

Je me trouvais dans une sorte de grand dortoir avec d'autres personnes ; nous étions tous allongés sur des lits et on était vraiment nombreux.
C'était un dortoir commun, (un peu à la manière des dortoirs improvisés dans les gymnases ou aéroports lors de catastrophe où hommes, femmes et enfants sont réunis, sauf que dans le songe tout était strictement bien organisé un peu à la militaire ; il n'y avait pas cette improvisation d'urgence un peu « pagaille » de ces situations d'hébergement d'urgence dont je fais mention pour trouver une comparaison.)

Pas loin de moi, il y avait un monsieur, un chrétien, qui se vantait avec beaucoup de force, de véhémence et de persuasion de l'assurance de son salut, qu'il allait être enlevé lors de la venue du Seigneur ; tout cela avec beaucoup de vantardise dans cette déclaration de foi.

Et moi, par rapport à une telle assurance, l'assurance de cet homme, j'étais beaucoup plus timorée, j'étais plus dans l'espérance confiante de faire partie des élus ; plus dans l'espérance que dans la certitude orgueilleuse que cet homme manifestait.

Et puis à un moment, tout le monde s'est endormi. On s'est tous endormis et soudain, il y a une personne qui est entrée dans ce grand dortoir qui a allumé la lumière et qui a réveillé une à une chacune des personnes ; il venait vers chacun de nous et avec la main il nous secouait l'épaule un peu vigoureusement et donc le temps que chacun se réveille, on savait que c'était l'enlèvement ; et cette personne qui était chargée de nous réveiller tous les uns après les autres, après avoir fait le tour de chacun, revenait à nouveau vers chacun de nous de façon à nous inspecter.

Et, cet envoyé céleste ayant l'apparence d'un homme si dirigea droit et sans hésitation vers ce fameux ‘chrétien' à côté de moi qui s'était tant vanté avant de se coucher et de s'endormir, de son salut, de son assurance d'être sauvé.
Sur le drap blanc de son lit, il avait posé une serviette de tissu blanc, de la taille d'une serviette de table à peu près. C'était juste à côté de lui. Et moi qui étais tout près puisque j'occupais le lit voisin je ne pouvais par percevoir cette serviette de tissu blanc posé sur ce drap blanc. Blanc sur blanc, je ne percevais absolument pas cette serviette.
Cette fameuse personne chargée de nous réveiller, à qui rien n'échappait, alla droit sur cet homme, pointant de façon claire et nette quelque chose dont il avait connaissance et qu'il percevait très bien, lui ; et il demanda avec une fermeté dans le ton : qu' y a-t-il sous cette serviette là ?
Alors cet homme a enlevé sa serviette, et dessous c'était vrai, il y avait un objet, rectangle, pas très grand, le format d'un boitier de CD environ, et cet objet était noir
De cet envoyé céleste se dégageait une autorité, une fermeté, rien ne lui échappait, il avait connaissance par avance de tout ce qui était tenu caché et il inspectait chacun avec rigueur. On ne pouvait rien cacher il mettait tout en lumière. Il allait droit sur ce qui n'allait pas.
La présence de cet objet avait une signification d'impureté, de péché parce que ce fameux envoyé revêtu d'autorité chargé de venir nous chercher lui disait clairement avec fermeté et autorité : «Toi tu n'es pas prêt ! Tu ne fais pas partie des élus, tu n'en fais pas partie à cause de ce que tu as caché sous ce tissu. »
Et alors, moi, j'étais saisie, sans voix parce que cet homme si sûr de lui, si triomphant dans ses paroles recevait tout le contraire de ce qu'il avait proclamé quelques heures avant.
Moi qui me trouvais tout près de lui, je ne percevais pas du tout la présence de cet interdit qu'il dissimulait sous ce tissu blanc, et ce tissu blanc posé sur le drap blanc ne m'était pas non plus visible à l'œil nu. Seul cet envoyé céleste allait droit dessus et le dévoilait sans faiblesse.

On sentait une très grande crainte, c'était très intimidant, on sentait vraiment la solennité et la gravité de cet évènement.
C'était très solennel malgré la simplicité dont cela se faisait.
On sentait que l'heure était très, très grave ; l'Heure était venue et cette personne chargée de venir nous chercher, je dis cette personne car il avait un apparence d'homme mais c'était un envoyé céleste.
Cet envoyé céleste est venu aussi vers moi et me disait, « bon toi tu viens ». Je ressentais sa grande autorité mais je n'étais pas terrorisée. C'est assez étonnant comme sensation.
Et ainsi nous étions un grand groupe à partir, à suivre cet envoyé et à un moment donné, c'était un peu comme le symbole de l'arche sans que je n'ai vu d'arche ; je n'ai vu aucune vision céleste, je n'ai pas vu d'ange, autre que cet envoyé ayant une forme humaine, je n'ai pas vu le Seigneur Lui-même. Mais je sais qu'à un moment donné Il était là, présent ;

C'était comme si on passait dans une autre pièce, mais c'était quand même un autre monde, c'était fini. Voilà c'était vraiment l'enlèvement et j'en prenais conscience, j'en prenais vraiment conscience. Il y avait vraiment une gravité dans le sens où, à cause de la sainteté de D.ieu, ça ne rigolait pas, et rien, absolument rien n'était toléré, ni caché ! Tout était mis à nu et cet envoyé ne s'y trompait ; il allait net vers ce qui n'allait pas et il n'avait pas non plus besoin de fouiller et de s'éterniser pour ceux qui étaient en règle. Cela se passait dans un très bref délai. Aucune impureté, aucune souillure, rien ! Absolument rien de souillé n'était toléré !

Je me retrouvais donc dans ce lieu, un peu comme une grande pièce et qui symbolisait donc l'endroit des noces de l'Agneau.
Je sais que le Seigneur était là, je ne le voyais pas de mes yeux, mais je le savais, je sentais très fortement sa présence.
Puis tout à coup j'ai été saisie d'une grande terreur, parce que j'avais connaissance dans mon esprit, avec certitude, de personnes que je connaissais bien et qui étaient restées et c'était trop tard !
Et j'étais prise d'un désarroi affreux ! Et j'implorais le Seigneur ! Je savais que c'était trop tard, que c'était fini ! C'était perdu ! C'était perdu ! Et la prise de conscience terrible, que j'avais, c'était qu'il n'y avait plus d'intercession possible.
Et je criais au Seigneur : « Seigneur ! Seigneur ! Si je pouvais donner des nuits de prières pour eux ! Si je pouvais faire quelque chose ! »
C'était trop tard ! C'était fini ! C'était vraiment très, très fort ! Très, très fort ! Au point que je pensais vraiment que c'était vrai. Souvent on fait des cauchemars ou des rêves très forts et on est étonné de se réveiller, mais là c'était vraiment, vraiment très fort !
Ce n'était pas encore l'heure de l'enlèvement, c'était une vision ou un songe.

Quand je repense à ce songe, surtout à la 2ème partie, celle où vraiment les élus dont je faisais partie est entrée dans ce lieu, c'est à dire le ciel certainement mais qui était symbolisé par une grande pièce, ce désarroi, j'implorais comme jamais j'ai imploré le Seigneur parce que j'avais le cœur déchiré, profondément déchiré de ce que ces personnes soient restées alors que 3 d'entre elles connaissent le Seigneur.

Je suis très régulière dans mes intercessions pour chacun d'eux ; dans ce songe je n'étais pas coupable de ne pas avoir intercédé pour eux.
Ce désarroi affreux que j'ai ressenti, pour ces personnes qui restaient et ma terreur étaient : ça y est, nous on est là-haut, on est bien mais maintenant le règne de l'antichrist va commencer, ça va être épouvantable, ça va être l'horreur, L'HORREUR, L'HORREUR comme JAMAIS sur la terre !
Et il n'y a plus personne pour intercéder ! C'est FINI !
Ça c'était très fort ! C'est FINI ! FINI ! Il n'y a plus rien !!! Plus aucun secours ! PLUS RIEN ! Je ressentais cette terreur qui arrivait sur la terre.

Une autre chose qui s'est dégagée dans ce songe, quand j'étais là-haut avec les élus, c'est une réalité très, très forte qui se dégageait, de ce que je ressentais, c'est que je n'étais sauvée QUE par GRÂCE et CERTAINEMENT PAS à cause de mes mérites.

J'en avais une conscience extraordinairement forte et aiguisée !

C'était UNIQUEMENT par grâce et CERTAINEMENT PAS par mes mérites. AUCUN de mes mérites ne pouvait trouver faveur, c'était uniquement, UNIQUEMENT par la grâce IMMÉRITÉE de D.ieu que j'avais fait partie de ce troupeau qui avait été enlevé et qui était convié aux noces de l'Agneau.

En me réveillant de ce songe à 5 heures du matin, je suis restée un long moment prosternée devant le Seigneur, je n'avais même pas de mot à dire, je n'avais même pas de parole à dire, aucun mot. Je suis restée prosternée devant le Seigneur sous le choc !

Ce songe, avec la force qu'il a dégagé dans mon âme, m'a vraiment choquée, a vraiment bousculé mes raisonnements. Ce n'est que par une vie de totale consécration et d'entière soumission au Seigneur, à sa Parole et à ses Commandements que l'on devient enfant de D.ieu, un collaborateur, et un outil utile au Seigneur et qu'on entre dans le royaume des cieux.
Tous les aspects de notre vie doivent être mis sur l'autel, comme Jésus Lui-même l'a fait durant sa vie sur terre et sur la croix nous laissant l'exemple à suivre.

Je suis donc restée prosternée devant le Seigneur, sans parole, sans force, sous le choc, un long moment devant sa Majesté, sa Sainteté et son Autorité.

Il n' y avait plus de salut possible pour ceux qui étaient restés !! Ça c'était clair et net. Effroyablement clair ! Comme pour la parabole des vierges folles ; et il n'y avait plus d'intercession possible non plus !! Il y avait une TOTALE RUPTURE !
La porte du salut était fermée et scellée !

Pardon Seigneur pour nos inconséquences, pardon de ne pas te donner ce dont TU as besoin ; et TES besoins Seigneur, ont une portée éternelle ; tes besoins Seigneur se portent constamment vers le poids des âmes ; Tu as constamment sur ton cœur de Père le soucis de nos âmes et leur éternité et d'ailleurs Tu as eu la folie d'amour d'avoir même donné ton propre Fils pour notre salut car Tu veux nous rendre saints comme Toi Tu es Saint ainsi que Tu nous le commandes dans ta Parole.

Cette folie d'amour Seigneur, notre esprit est trop petit pour le comprendre dans sa totalité et Seigneur pardon, pardon pour toutes les fois où la chair a eu la victoire dans nos vies, pardon pour notre tiédeur, pardon pour notre orgueil, pardon de jouer avec la Sainteté de ta Parole, de tes commandements et de ne pas les garder, pardon pour notre manque de consécration, pardon pour notre oisiveté, pardon de jouer avec ton salut si cher, si précieux puisqu'il s'agit de ton propre Fils ; un ange pourtant céleste , glorieux et saint n'a pas suffit, c'est Ton propre Fils qui a dû venir expier dans une mort d'agonie atroce, Lui le Saint, Le Pur, l'Innocent a pris Ta colère sur Lui à notre place.
Tu l'as brisé par la souffrance alors que cette colère nous est réservée et Tu la réserves toujours pour ceux qui refusent ce salut et pour ceux qui ayant connu ce salut et l'ont rejeté ou bafoué. La violence de la crucifixion de Ton Fils, D.ieu fait homme, exprime toute l'horreur, la colère, l'exécration que Tu éprouves pour le péché ;

pardon pour le contre-témoignage qui éclabousse et qui fausse le témoignage de ton Église, prunelle de tes yeux puisque tu te l'ai acquise par ton propre sang, pardon de ne pas bruler suffisamment de zèle de la Sainteté pour TA Maison, pardon pour le péché qui s'introduit dans ton peuple, dans nos vies et que nous tolérons nous rendant ainsi coupables.

Pardon pour l'amour que nous manifestons aux choses du monde et que nous introduisons dans Ta maison, dans nos vies et qui prennent le pas sur Toi et sur les commandements de ta Sainte Parole.

Fais-nous revenir à Toi, à tes saints commandements, à ta sainte parole, fais-nous devenir d'authentiques chrétiens, d'authentiques enfants de D.ieu animés de la Sainte Crainte de D.ieu ; pardon pour le compromis et la compromission que nous tolérons dans nos vies et dans Ta maison et qui te font horreur.

Seigneur fais-nous sortir de Babylone conduis-nous à Ta Jérusalem céleste. Seigneur nous soupirons après Toi et après ta Sainteté, viens nettoyer ton aire.

Fils de D.ieu aie pitié de nous, regarde-nous du haut de ton Trône de Gloire et viens nous purifier, viens nous enseigner, créé en nous un cœur pur, renouvelle en nous un esprit bien disposé, ne nous retire pas ton Esprit Saint mais qu'un bon Esprit nous anime . Nous languissons après ton salut, viens nous en aide, aie pitié de nous.

Béni sois-Tu Éternel notre D.ieu, Roi de l'Univers qui nous a sanctifié par le Messie Jésus la Lumière du monde qui s'est offert Lui-même sans tâche à D.ieu pour expier nos péchés et qui est entré dans le Sanctuaire Céleste avec son PROPRE sang. D.ieu n'a accepté aucun holocauste de boucs et de taureaux pour ôter le péché ; alors Tu as dit : « Voici, Je viens ! pour faire Ta Volonté, Mon D.ieu ! »
Nous avons libre accès au Sanctuaire grâce au sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant, qu'Il a ouvert pour nous, au travers du voile, au travers de Son Propre Corps. Soit exalté, soit exalté Agneau de D.ieu !

L'Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la louange, la richesse, la force, la sagesse, la puissance et la gloire. Il a un vêtement trempé de sang Son Nom est :
LA PAROLE DE D.ieu
 

[L'enlèvement] Tu ne seras pas enlevé si... par Viviane

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